Professor Filósofo

Dans la vie, il est :

prof. de capoeira, prof. de lycée et université, auteur, étudiant doctorant, chanteur.

 

Professor Filósofo

© Professor Filósofo

 

Son vrai nom :

Dolf van der Schoot

Origine :

Goirle, Pays-Bas. Né en 1979

Années de capoeira :

depuis 1999

Groupe :

Berimbau de Ouro (mestre Marreta)

Formé par :

Mestre Marreta

Signature move :

le coup de sourcil

A PROPOS DE Professeur Filósofo :

    La première fois que j’ai vu la capoeira, c’était dans un marché à Byron Bay en Australie, j’avais alors 18 ans et j’étais en voyage « autour du monde ». J’ai directement été capté par la roda. Moi, qui depuis toujours faisais du sport et aimé faire de la musique, j’avais jamais vu une chose où ça se rencontrait. J’ai demandé au responsable là s’il y en avait aussi au Pays-Bas, il m’a dit qu’il pensait que oui.

   Plus d’un an après quand je suis retourné au pays, en me baladant dans le parc de Vondelpark à Amsterdam, j’ai vu une roda, organisé par mestre Marreta, mais comme j’habitais en ‘S Hertogenbosch à ce moment-là, il m’a donné le nom de mestre Vladimir (capoeira Batuque) où j’ai fait, mais début. Après un an, j’ai déménagé pour Amsterdam pour continuer mes études et j’ai alors pu commencer à m’entraîner avec mestre Marreta. Le reste, c’est d’histoire ancienne, comme on dit.

   Comme je voulais en connaître plus sur la culture brésilienne autour de capoeira et j’ai pris goût pour la musique, du coup, je suis parti au Brésil en 2002 pour la première fois, et j’y suis resté 1 ans et demi. J’ai étudié à l’UFPE et vécu à Olinda, Recife, où je me suis entrainé avec mestre Corisco, Perna Pesada et Betão, du groupe Chapéu de Couro. Mais j’ai aussi visité d’autre groupe et fait d’autre roda. Celle de mestre Sapo, de mestre Rogério et no Alto da .

   Alors j’ai su que la capoeira ferait toujours partie de ma vie, mais pas encore comment. En faisant, mes études de sciences politiques et philosophie, j’ai commencé presqu’en même temps, la pratique de capoeira. Et c’était pour ces raisons que je suis resté 1 an et demi au Brésil. Donc de ce fait, j’ai toujours fait les deux simultanément, pour le bien ou le mal. 

   Quand je suis retourné au Pays-Bas, j’ai alors commencé à donner des cours et des stages dans des écoles et pour mon mestre. Après un moment, je me suis formé professeur et commencé à créer mon propre travail à Amsterdam. 

  Mais en 2012, on m’a donné la possibilité de travailler comme professeur de philosophie au Portugal, et j’ai commencé a y monter mon association et mon groupe de capoeira, à Aljezur, São-Teotónio, Rogil et Odemira.

  Ce qui devait être une année, est devenu 4 ans. Mais comme j’ai commençais mon doctorat (dans un institut suisse en fait), il m’a fallu déménager pour Paris, la capitale de la philosophie et de la capoeira européenne. 
   C’était toujours un petit rêve romantique de vivre et étudier à Paris, je réalise maintenant. 
  Plus information sur mon travail « bdocapoeira » 

  J’ai aussi publié plusieurs livres sur la capoeira et je suis en train d’en écrire un troisième :

 Capoeira e Religiosidade (Espiritualidade)

 Capoeira and Religiosity (Spirituality)

–               (À venir) : Encontro das Aguas (Avec mestre Russo de Caxias) 

Et on peut me contacter par e-mail depuis mon site. 

  • Pourquoi j’ai accroché:

    La combinaison de la musique et des mouvements, les rituels, le truc du groupe. 

  • Pourquoi mon apelido:

    En fait, j’ en avais plusieurs, donné par plusieurs mestres. Mais le dernier est donné par mon mestre, donc vous avez besoin de demander lui. Peut-être ça a quelque chose à voir avec mon autre profession..

  • Ma plus grosse raclée:

    En thermes d’impact, c’était lors de ma troisième ou quatrième corde, au Pays-Bas, quand j’ai donné un meia-lua de frente trop haut, et le mec m’a donné un banda tellement forte, que l’autre jambe est montée à la même hauteur que l’autre jambe du coup, je suis tombé très fort, les fesses au sol. Du coup, je n’ai pas pu marcher pendant une semaine. 

  • Le plus beau compliment qu’on puisse me faire:

    Je pense que tous les compliments sont les bienvenues, mais ça me fait plaisir quand j’arrivé à toucher quelqu’un. Et (comme tous les profs) quand on parle bien de mes élèves, bien sûr. 

  • La critique que je ne supporte pas d’entendre:

    Chaque critique basé sur une paresse de s’informer et penser pour soi-même.

  • Ma chanson préférée:

    Ca dépend du moment

  • Un grand capoeiriste pour moi, c’est:

    Celui qui joue avec son cœur, domine plusieurs facettes de cet art et arrive à rester modeste qu’importe ses capacités, grade ou expérience ; parce qu’il sait qu’on joue jamais la capoeira seul

     

  • Tu peux me trouver:

                                                   www.bdocapoeira.org

  • Citations : «Capoeira é uma só»
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Liens :

                www.bdocapoeira.org